Par Philipe Amiguet le 10 juillet 1938
« A vrai dire, dans ce Valais, si dépouillé, si rocailleux, Savièse apparaît au voyageur comme un merveilleux et frais jardin… Un jardin aéré par les vents de la montagne et, par surcroît, inondé de belle et chaude lumière. Cette lumière de Savièse est d’une pureté incroyable. »