Claire Lucques [Carmelle Dosse-Favre], Les Reflets littéraires, Paris, 1944
« …Mais dépassez la vigne de Lentinaz puisque aussi bien maintenant la féerique villa vigneronne de Maman est détruite. Prenez vers l’Est, et montez; montez par delà Drône. Hardiment, cinq cents mètres de dénivellation, et même plus. Vous êtes alors au Mayen de la Zour. Il faut y aller au mois d’août à six heures du soir. Ne craignez rien si les petits renards fauves vont à leurs affaires. Ils bondissent et glissent avec agilité entre vos pieds. Vous l’aimez mieux cette lumière-ci ? »