La Liberté, 30 avril 1959
« Mais il fallait bien s’arracher à cet envoûtement, regagner la plaine et, après avoir traversé à nouveau la pittoresque capitale, monter à Savièse où devait se terminer la journée selon le rite obligatoire de toute visite en Valais, c’est-à-dire par la fameuse raclette. Inutile de dire que les appétits aiguisés par l’air des hautes vallées, par les vertus réputées du Fendant, firent honneur au plat national de nos amis valaisans, à cette digne cousine de notre fondue, surtout quand un tel plat est agrémenté par la grâce saine et robuste des jeunes serveuses saviésannes. »