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La première mention écrite de la Diolle, notée jiolaz, remonte à 1654. Autres mentions : Tiola en 1812, Diollaz ou Jollaz en 1885. De la fin du XIXème siècle à 2007, on n’entend plus parler de la Diolle jusqu’à la rencontre de mon papa, Germain Héritier, avec le généticien-ampélologue José Vouillamoz.

« Germain Héritier, viticulteur-encaveur à Granois, avait repéré deux vieux ceps insolites dans un mur du vigne sur la commune de Savièse. En 2007, le test ADN a permis d’affirmer qu’il s’agit d’un cépage unique, issu du croisement naturel entre la Rèze et un autre cépage inconnu, probablement disparu. »

Le cépage tire son nom du hameau de Diolly entre Sion et Savièse.

Pour en savoir plus :

 

  • Histoire de la Vigne et du Vin en Valais – Des origines à nos jours, Musée valaisan de la Vigne et du Vin, Infolio, 2009, p. 74, 216, 220-221.
  • « Cépage historique de Savièse », Patrimoine saviésan, Ed. de la Chervignine, 2007, pp. 55-58.
  • Article sur le net « Le retour de la Diolle, un clic ici.
  • Définition Diolle, un clic ici
  • Un vieux cépage valaisan ressuscité, un clic ici
  • L’un des plus vieux cépages valaisans reprend sa place, le Nouvelliste du 28.02.2013
  • Reportage Canal9 du 17 juin 2013. Un clic ici. La vigne est plantée.